Pour les éleveurs bretons l'IBR revient
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Re: Pour les éleveurs bretons l'IBR revient
Le groupement de défense sanitaire Bretagne met en garde les éleveurs. La rhinotrachéite infectieuse bovine a refait son apparition en 2018 dans des cheptels d’Ille-et-Vilaine.
L’année 2018 a été éprouvante pour les membres du groupement de défense sanitaire (GDS) Bretagne. L’association, qui gère les questions de santé sur les élevages de la région, a en effet fait face à la réapparition d’une maladie virale : la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR, en anglais).Cette maladie très contagieuse se transmet entre bovins et cause de nombreux avortements. Le virus affecte fortement le commerce : il est en effet impossible de vendre et de faire se reproduire un animal porteur de la maladie, le bovin contaminé est destiné à l’abattoir.
Une réapparition inattendue
Après plus de 40 ans sans entendre parler d’IBR en Bretagne, la maladie a refait surface en Ille-et-Vilaine. Cinq cheptels ont été touchés. « À chaque fois, ce sont environ 80 % de la population du troupeau qu’il a fallu abattre », précise l’association.
Les agriculteurs victimes de l’IBR ont été impactés moralement et financièrement. Pour leur permettre de continuer à exercer sereinement, GDS Bretagne a pris en charge les analyses, les honoraires et a indemnisé l’abattage des cheptels concernés. « On a un budget de 15,7 millions d’euros. 80 % de ce budget revient à l’éleveur. En 2018, 42 % de cette somme finale ont été reversées sous forme de prise en charge pour les exploitants touchés par la maladie animale contre 38,7 % l’année précédente », explique le trésorier et éleveur Thierry Le Druillenec.
« La santé sanitaire n’est jamais gagnée, il ne faut en aucun cas se relâcher «, ont souligné, mercredi 12 juin, les membres du bureau de l’association de défense sanitaire GDS Bretagne.
« La santé sanitaire n’est jamais gagnée, il ne faut en aucun cas se relâcher «, ont souligné, mercredi 12 juin, les membres du bureau de l’association de défense sanitaire GDS Bretagne. | OUEST-FRANCE
Un travail de longue haleine
Depuis sa création en 1953, l’association veut « donner le même service sanitaire à tous les éleveurs (environ 20 000 en Bretagne). Grâce à notre travail et notre investissement, l’élevage breton est réputé pour son excellente qualité sanitaire », affirme le président du groupement Jean-François Tréguer.
Malgré les contaminations de 2018, le bureau de l’association souhaite garder la même méthode de travail. « On a su être réactif et agir pour limiter les dégâts. » Cependant, les trajets et la provenance des animaux vont être dorénavant davantage surveillés.
L’année 2018 a été éprouvante pour les membres du groupement de défense sanitaire (GDS) Bretagne. L’association, qui gère les questions de santé sur les élevages de la région, a en effet fait face à la réapparition d’une maladie virale : la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR, en anglais).Cette maladie très contagieuse se transmet entre bovins et cause de nombreux avortements. Le virus affecte fortement le commerce : il est en effet impossible de vendre et de faire se reproduire un animal porteur de la maladie, le bovin contaminé est destiné à l’abattoir.
Une réapparition inattendue
Après plus de 40 ans sans entendre parler d’IBR en Bretagne, la maladie a refait surface en Ille-et-Vilaine. Cinq cheptels ont été touchés. « À chaque fois, ce sont environ 80 % de la population du troupeau qu’il a fallu abattre », précise l’association.
Les agriculteurs victimes de l’IBR ont été impactés moralement et financièrement. Pour leur permettre de continuer à exercer sereinement, GDS Bretagne a pris en charge les analyses, les honoraires et a indemnisé l’abattage des cheptels concernés. « On a un budget de 15,7 millions d’euros. 80 % de ce budget revient à l’éleveur. En 2018, 42 % de cette somme finale ont été reversées sous forme de prise en charge pour les exploitants touchés par la maladie animale contre 38,7 % l’année précédente », explique le trésorier et éleveur Thierry Le Druillenec.
« La santé sanitaire n’est jamais gagnée, il ne faut en aucun cas se relâcher «, ont souligné, mercredi 12 juin, les membres du bureau de l’association de défense sanitaire GDS Bretagne.
« La santé sanitaire n’est jamais gagnée, il ne faut en aucun cas se relâcher «, ont souligné, mercredi 12 juin, les membres du bureau de l’association de défense sanitaire GDS Bretagne. | OUEST-FRANCE
Un travail de longue haleine
Depuis sa création en 1953, l’association veut « donner le même service sanitaire à tous les éleveurs (environ 20 000 en Bretagne). Grâce à notre travail et notre investissement, l’élevage breton est réputé pour son excellente qualité sanitaire », affirme le président du groupement Jean-François Tréguer.
Malgré les contaminations de 2018, le bureau de l’association souhaite garder la même méthode de travail. « On a su être réactif et agir pour limiter les dégâts. » Cependant, les trajets et la provenance des animaux vont être dorénavant davantage surveillés.
pig- Agrinaute hors compétition
- Age : 66
Re: Pour les éleveurs bretons l'IBR revient
Conduisez- vous un dépistage annuel systématique ??
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: Pour les éleveurs bretons l'IBR revient
pourquoi ils abattent les troupeaux???
Ya pas un vaccin pour cette saloperie?
Ya pas un vaccin pour cette saloperie?
agribzh22- Agrinaute d'argent
- Age : 31
Re: Pour les éleveurs bretons l'IBR revient
le texte ressemble presque plus a un argumentaire contre la dissidence qui se met en place que a un article sur le retour de l'ibr
Invité- Invité
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